Les algorithmes de la mémoire spatiale sont malheureusement trop lourd pour être testé simultanément. Il ont néanmoins permis de démontrer qu'il est possible d'apprendre par l'expérience la notion de l'espace. Partant de l'hypothèse que cette mémoire peut être apprise, nous avons développé une nouvelle mémoire spatiale simplifiée. Les objets sont représentés par des points et des segments auxquels est attribué un vecteur vitesse, supposée mesuré par le système sensoriel de l'agent. L'agent peut alors associer des interactions (ou des séquences d'interactions) à ces éléments. La démonstration de ce mécanisme est disponible sur le blog d'Ernest.